Table des matières

LGDS - scène - Intro

Description de lieux et de la situation

Une halle médiévale avec des murs en bois. Eclairage chaud, des fenêtres en ogives, des tapisseries aux armes de Nuln et de l'Empire. De la paille sur un sol dallé. Mobilier massif, en bois. Décoration gothiques.

Le tribunal de Nuln se trouve dans le temple de Verena. De la pierre, claire. De la paille au sol. Des étendards portant le blason de Verena et celui de Nuln. De grandes fenêtres en ogive, de la lumière. Une foule répartie en petits groupes.

Trois homme assis à une table : un juge de Véréna, un greffier et le MC, un novice de Verena. Ils sont tous les trois habillé de blanc, mais la tenue du juge est un peu plus ostentatoire. Un attroupement autour de la table : curieux, accusés et accusateurs des prochaines affaires.

Trois gardes de la ville se tiennent à coté d'une jeune fille. Elle a environ 15 ans. Elle porte une robe sombre, simple, sale et usée.

Déroulement et actions possible

Aparté entre le juge et le MC

Le juge se tourne vers le MC.

“C'est ta soeur, n'est-ce pas?”

“Oui, juge.”

“C'est l'un des moments les plus délicats pour un juge : savoir s'il doit se retirer pour protéger la justice plutôt que ceux qu'il aime. Tu es là pour observer mon travail, novice. Rien ne t'oblige à rester pendant que je juge cette affaire.”

“C'est vrai que j'ai peur pour ma sœur, mais je suis surtout surpris et curieux. Ce n'est pas…”

Le juge lève la main.

“Je préfère aborder affaire sans préjugés.”

“Pardonne-moi.”

Se tournant vers les gardes, le juge les invite à parler.

Déclaration des gardes

Le garde le plus gros présente sa version des faits en bégayant.

“On était sur la rue d'Be… Dre.. de, Bretonnie, quand un homme de bien nous a dit qu'une frête… Une fête… Une fEnêtre avait été cassée au manoir.”

“Les gardes Gra… Cla… Sca… Xavinov, Kreiga et moi, on est allé voir. On a croisé c'te donzelle juste avant d'arri… D'arrij… D'arriver au manoir. Elle en sortait.”

La jeune fille s'agite mais un garde lui donne un coup dans l'épaule.

Le juge de ville s'énerve quand le gros garde bloque sur un mot et il le foudroie de regard après que son collègue est frappé l'accusée.

“On l'a aaa… On l'aaaa… On l'aaahaha… On l'a, ahaahaha…” Le garde s'empourpre.

“Les gars l'ont arrêtée. On a pu vérifff… Vérifff… On a pu vérifier qu'une grande fEnêtre était cassée. Y'avait un peu d'vè… D'vè… De vè… De verrr… Y'en avait par terre. Avec des couleurs.”

Les deux autres gardes confirment.

Si le protagoniste essaie d'intervenir, on lui répond qu'on ne veux pas entendre sa version.

Le juge de ville conclut que le garde pense que l'accusé est coupable du bris de la vitre et du saccage de la bibliothèque.

Le juge de Véréna demande si quelqu'un d'autre aurait pu quitter les lieux.

Personnages présents

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Aucune

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